Exposition « Sardine – L’infini de la pêche au cerco »

Sardine – La pêche sans fin du siège » arrive au Musée de Portimão le 4 octobre, après le lancement du livre du même nom. Portimão sera la seule ville de l’Algarve à accueillir cette exposition documentaire.
La Confrérie Gastronomique de la Sardine de Portimão, avec le soutien de la municipalité de Portimão, apporte au Musée de Portimão l’exposition « Sardine – L’infini de la pêche de siège », un portrait émouvant et profond de la pêche à la sardine au Portugal. L’inauguration est prévue pour le 4 octobre 2025 à 16h00.
La Confrérie Gastronomique de la Sardine de Portimão promet de surprendre le public avec des révélations exclusives et des nouvelles passionnantes qui ne seront connues que le jour même. Un événement rempli d’émotion, d’identité et, bien sûr, de nombreuses surprises qui ne laisseront personne indifférent.
Du photographe Hélder Luís, l’exposition « Sardine – La pêche sans fin du siège » est le résultat d’un vaste projet de photographie documentaire développé entre 2018 et 2022, au cours duquel l’auteur a accompagné des équipages de senneurs à travers le pays. L’œuvre plonge dans l’expérience des communautés de pêcheurs portugaises, capturant la vie quotidienne, les émotions et la relation intime des pêcheurs avec la mer – un espace de travail aussi vaste qu’imprévisible.
« Le vrai défi était de capturer l’âme de l’activité – la vie des pêcheurs, la force des éléments naturels et l’incertitude constante qui définit la vie quotidienne », explique Hélder Luís.
En quatre ans, le photographe a sillonné les ports du nord au sud, et apporte aujourd’hui ce regard sensible et profond à l’Algarve, dans une occasion unique pour le public de la région.
L’exposition comprend des photographies, des textes, des infographies et des dessins techniques qui aident à contextualiser et à approfondir les connaissances sur la pêche à la senne coulissante – une technique traditionnelle de capture de la sardine, dont la pratique implique non seulement des connaissances techniques, mais aussi le patrimoine culturel et l’identité collective.
